La politique telle que je la pratique.
Être maire m’a forgée et confortée dans ma posture de femme politique. Je sais donner à Biot la place que nous méritons avec la Préfecture, les Services de l’État, le Département, la CASA et je sais défendre les intérêts de Biot auprès des élus locaux, de mes collègues maires, des parlementaires et des ministres.
Libre des partis politiques, des clivages qu’ils imposent, j’agis selon mes valeurs : humanisme, solidarité, respect dans le débat, défense de l’intérêt général.
Je connais à présent les codes politiciens. Maire, je suis maintenant une femme politique qui fait de la politique comme devrait se faire la politique.
L’échelle communale est la bonne échelle pour agir efficacement.
La bonne échelle pour agir pour et avec les citoyens, c’est la commune. C’est l’échelle de la proximité, l’échelle de la participation citoyenne et de la responsabilisation citoyenne.
La politique telle que je la pratique.
Être maire m’a forgée et confortée dans ma posture de femme politique. Je sais donner à Biot la place que nous méritons avec la Préfecture, les Services de l’État, le Département, la CASA et je sais défendre les intérêts de Biot auprès des élus locaux, de mes collègues maires, des parlementaires et des ministres.
Libre des partis politiques, des clivages qu’ils imposent, j’agis selon mes valeurs : humanisme, solidarité, respect dans le débat, défense de l’intérêt général.
Je connais à présent les codes politiciens. Maire, je suis maintenant une femme politique qui fait de la politique comme devrait se faire la politique.
L’échelle communale est la bonne échelle pour agir efficacement.
La bonne échelle pour agir pour et avec les citoyens, c’est la commune. C’est l’échelle de la proximité, l’échelle de la participation citoyenne et de la responsabilisation citoyenne.
L’instrumentalisation de la peur
Je ne peux que m’insurger sur les pratiques politiciennes de ceux qui veulent venir ou revenir au pouvoir avec
• un registre majeur : la peur
• un moyen majeur : la désinformation, les fakes news, bref le mensonge !
On voit très bien au niveau national, ce que le RN fait en agitant la peur de l’autre, comment les attentats sont instrumentalisés pour stigmatiser les français musulmans ou les migrants d’Afrique.
Dans le microcosme biotois : c’est aussi la peur de l’autre qui est brandie. L’autre, le prochain voisin, celui qui va venir habiter à côté, avec ses deux voitures, ses enfants bruyants sûrement ou même pire avec ses ados, ceux qui cassent tout, qui zonent, qui vont transformer le quartier en cité de banlieue.
Mais comme on est poli, on ne le dit pas trop, (certains dérapent bien un peu sur les réseaux sociaux) mais surtout on emballe cela avec des arguments repeints en vert et c’est une véritable fureur qui est déclenchée autour de l’urbanisation et de la bétonisation supposée des quartiers biotois.
L’instrumentalisation de la peur
Je ne peux que m’insurger sur les pratiques politiciennes de ceux qui veulent venir ou revenir au pouvoir avec
• un registre majeur : la peur
• un moyen majeur : la désinformation, les fakes news, bref le mensonge !
On voit très bien au niveau national, ce que le RN fait en agitant la peur de l’autre, comment les attentats sont instrumentalisés pour stigmatiser les français musulmans ou les migrants d’Afrique.
Dans le microcosme biotois : c’est aussi la peur de l’autre qui est brandie. L’autre, le prochain voisin, celui qui va venir habiter à côté, avec ses deux voitures, ses enfants bruyants sûrement ou même pire avec ses ados, ceux qui cassent tout, qui zonent, qui vont transformer le quartier en cité de banlieue.
Mais comme on est poli, on ne le dit pas trop, (certains dérapent bien un peu sur les réseaux sociaux) mais surtout on emballe cela avec des arguments repeints en vert et c’est une véritable fureur qui est déclenchée autour de l’urbanisation et de la bétonisation supposée des quartiers biotois.