La politique telle que je la pratique.

Être maire m’a forgée et confortée dans ma posture de femme politique. Je sais donner à Biot la place que nous méritons avec la Préfecture, les Services de l’État, le Département, la CASA et je sais défendre les intérêts de Biot auprès des élus locaux, de mes collègues maires, des parlementaires et des ministres.

Libre des partis politiques, des clivages qu’ils imposent, j’agis selon mes valeurs : humanisme, solidarité, respect dans le débat, défense de l’intérêt général.

Je connais à présent les codes politiciens. Maire, je suis maintenant une femme politique qui fait de la politique comme devrait se faire la politique.

L’échelle communale est la bonne échelle pour agir efficacement.

La bonne échelle pour agir pour et avec les citoyens, c’est la commune. C’est l’échelle de la proximité, l’échelle de la participation citoyenne et de la responsabilisation citoyenne.

La politique telle que je la pratique.

Être maire m’a forgée et confortée dans ma posture de femme politique. Je sais donner à Biot la place que nous méritons avec la Préfecture, les Services de l’État, le Département, la CASA et je sais défendre les intérêts de Biot auprès des élus locaux, de mes collègues maires, des parlementaires et des ministres.

Libre des partis politiques, des clivages qu’ils imposent, j’agis selon mes valeurs : humanisme, solidarité, respect dans le débat, défense de l’intérêt général.

Je connais à présent les codes politiciens. Maire, je suis maintenant une femme politique qui fait de la politique comme devrait se faire la politique.

L’échelle communale est la bonne échelle pour agir efficacement.

La bonne échelle pour agir pour et avec les citoyens, c’est la commune. C’est l’échelle de la proximité, l’échelle de la participation citoyenne et de la responsabilisation citoyenne.

La politique comme elle doit se faire.

Pendant 6 ans, j’ai pratiqué la politique, la vraie celle de la res publica, en fait je ne dis plus « faire de la politique autrement », Je dis « C’est comme ça que la politique doit se faire !»

Le marketing politique qui a cours fait que les mots « démocrate » et « républicain » sont employés aujourd’hui pour emballer des valeurs qui ne sont pas forcément celles que je porte.

Mes fondements viennent de plus loin, de valeurs fondatrices, des « Lumières » du 18e Siècle à la Déclaration Universelle des Droits de l’homme de 1948.

• L’ouverture au monde

• L’accueil de l’autre, l’altruisme

• L’humanisme en grand

Et en ce 21e siècle, l’humanisme ne peut se vivre, se concevoir sans considérer le contexte et les enjeux du réchauffement climatique.

La politique comme elle doit se faire.

Pendant 6 ans, j’ai pratiqué la politique, la vraie celle de la res publica, en fait je ne dis plus « faire de la politique autrement », Je dis « C’est comme ça que la politique doit se faire !»

Le marketing politique qui a cours fait que les mots « démocrate » et « républicain » sont employés aujourd’hui pour emballer des valeurs qui ne sont pas forcément celles que je porte.

Mes fondements viennent de plus loin, de valeurs fondatrices, des « Lumières » du 18e Siècle à la Déclaration Universelle des Droits de l’homme de 1948.

• L’ouverture au monde

• L’accueil de l’autre, l’altruisme

• L’humanisme en grand

Et en ce 21e siècle, l’humanisme ne peut se vivre, se concevoir sans considérer le contexte et les enjeux du réchauffement climatique.

L’instrumentalisation de la peur

Je ne peux que m’insurger sur les pratiques politiciennes de ceux qui veulent venir ou revenir au pouvoir avec

• un registre majeur : la peur

• un moyen majeur : la désinformation, les fakes news, bref le mensonge !

On voit très bien au niveau national, ce que le RN fait en agitant la peur de l’autre, comment les attentats sont instrumentalisés pour stigmatiser les français musulmans ou les migrants d’Afrique.

Dans le microcosme biotois : c’est aussi la peur de l’autre qui est brandie. L’autre, le prochain voisin, celui qui va venir habiter à côté, avec ses deux voitures, ses enfants bruyants sûrement ou même pire avec ses ados, ceux qui cassent tout, qui zonent, qui vont transformer le quartier en cité de banlieue.

Mais comme on est poli, on ne le dit pas trop, (certains dérapent bien un peu sur les réseaux sociaux) mais surtout on emballe cela avec des arguments repeints en vert et c’est une véritable fureur qui est déclenchée autour de l’urbanisation et de la bétonisation supposée des quartiers biotois.

L’instrumentalisation de la peur

Je ne peux que m’insurger sur les pratiques politiciennes de ceux qui veulent venir ou revenir au pouvoir avec

• un registre majeur : la peur

• un moyen majeur : la désinformation, les fakes news, bref le mensonge !

On voit très bien au niveau national, ce que le RN fait en agitant la peur de l’autre, comment les attentats sont instrumentalisés pour stigmatiser les français musulmans ou les migrants d’Afrique.

Dans le microcosme biotois : c’est aussi la peur de l’autre qui est brandie. L’autre, le prochain voisin, celui qui va venir habiter à côté, avec ses deux voitures, ses enfants bruyants sûrement ou même pire avec ses ados, ceux qui cassent tout, qui zonent, qui vont transformer le quartier en cité de banlieue.

Mais comme on est poli, on ne le dit pas trop, (certains dérapent bien un peu sur les réseaux sociaux) mais surtout on emballe cela avec des arguments repeints en vert et c’est une véritable fureur qui est déclenchée autour de l’urbanisation et de la bétonisation supposée des quartiers biotois.

Une gestion municipale exemplaire

Le mandat qui s’achève pose les bases pour le mandat qui suit. Les finances communales sont saines, nous dégageons depuis 2 ans près de 3M€ de marge nette (après remboursement des emprunts). Nous avons réalisé en 6 ans 32,7 M€ d’investissement autofinancés à hauteur de 72% !

Fin 2019, l’endettement redevient convenable diminué de 3 M€, passant de 17,8 M€ à 14,8 M€. L’objectif de 7,8 M€ de dette fin 2022 est prévu.

Côté organisation des services, nous avons considérablement progressé. Nos services municipaux ont été modernisés. La polyvalence des agents et la transversalité entre services font des miracles : la masse salariale est maîtrisée tout en augmentant la qualité du service public. Le service aux administrés s’est amélioré, plus direct, réactif, innovant, avec une attention particulière pour les enfants, les jeunes, les activités artistiques et sportives.

L’engagement des élus à mes côtés a été capital pour donner à Biot une administration digne d’une ville de 10000 habitants.

Le doute comme une force.

Ceux qui me connaissent savent combien je doute.

Je doute de mes compétences, je doute de ma légitimité, je doute de ma solidité. Ça n’est pas une posture de politicien professionnel.

Est-ce que le doute me paralyse ? Non, au contraire, il me pousse vers le travail, la connaissance des dossiers, la communication médiatique, la proximité avec mes concitoyens.

Pendant ce mandat, avec des épisodes terribles que nous avons vécus, j’ai donc beaucoup travaillé, j’ai aussi beaucoup encaissé, géré du stress et surmonté ces situations difficiles et peu communes, mais j’ai aussi beaucoup donné avec plaisir et conviction.

Aujourd’hui, après ce premier mandat, je sais que je sais faire et je suis rassurée. Mes doutes de légitimité, mes doutes de compétences s’estompent.

Oui, la preuve est faite avec ce bilan de mandat. Je sais mener à bien un projet municipal.

Une gestion municipale exemplaire

Le mandat qui s’achève pose les bases pour le mandat qui suit. Les finances communales sont saines, nous dégageons depuis 2 ans près de 3M€ de marge nette (après remboursement des emprunts). Nous avons réalisé en 6 ans 32,7 M€ d’investissement autofinancés à hauteur de 72% !

Fin 2019, l’endettement redevient convenable diminué de 3 M€, passant de 17,8 M€ à 14,8 M€. L’objectif de 7,8 M€ de dette fin 2022 est prévu.

Côté organisation des services, nous avons considérablement progressé. Nos services municipaux ont été modernisés. La polyvalence des agents et la transversalité entre services font des miracles : la masse salariale est maîtrisée tout en augmentant la qualité du service public. Le service aux administrés s’est amélioré, plus direct, réactif, innovant, avec une attention particulière pour les enfants, les jeunes, les activités artistiques et sportives.

L’engagement des élus à mes côtés a été capital pour donner à Biot une administration digne d’une ville de 10000 habitants.

Le doute comme une force.

Ceux qui me connaissent savent combien je doute.

Je doute de mes compétences, je doute de ma légitimité, je doute de ma solidité. Ça n’est pas une posture de politicien professionnel.

Est-ce que le doute me paralyse ? Non, au contraire, il me pousse vers le travail, la connaissance des dossiers, la communication médiatique, la proximité avec mes concitoyens.

Pendant ce mandat, avec des épisodes terribles que nous avons vécus, j’ai donc beaucoup travaillé, j’ai aussi beaucoup encaissé, géré du stress et surmonté ces situations difficiles et peu communes, mais j’ai aussi beaucoup donné avec plaisir et conviction.

Aujourd’hui, après ce premier mandat, je sais que je sais faire et je suis rassurée. Mes doutes de légitimité, mes doutes de compétences s’estompent.

Oui, la preuve est faite avec ce bilan de mandat. Je sais mener à bien un projet municipal.

Biot, l’Avenir au Cœur

Je sais que l’initiative, la création et l’innovation sont les moteurs des sociétés d’aujourd’hui, des sociétés qui relèvent les défis de notre époque, des sociétés d’avenir, de solidarité. En 2020, l’urgence climatique est avérée, les défis d’aujourd’hui à relever sont colossaux. Le premier étant de retrouver collectivement le sens de l’intérêt général et le second étant que chacun renoue avec sa responsabilité de citoyen.

Voilà pourquoi je suis candidate aux élections municipales des 15 et 22 mars 2020 à Biot. L’échelle communale est celle qui est la plus adaptée pour conduire les actions nécessaires à une véritable métamorphose de nos habitudes. La réussite de ce mandat montre que les qualités de gestionnaires, le choix des actions menées, la volonté d’un service public au plus près des Biotois n’ont pas besoin d’un maire inféodé à un parti politique. C’est donc tout aussi libre et avec mes convictions que je co-construis le projet « L’Avenir au cœur » que je porterai au suffrage des Biotois en mars 2020.

Biot, l’Avenir au Cœur

Je sais que l’initiative, la création et l’innovation sont les moteurs des sociétés d’aujourd’hui, des sociétés qui relèvent les défis de notre époque, des sociétés d’avenir, de solidarité. En 2020, l’urgence climatique est avérée, les défis d’aujourd’hui à relever sont colossaux. Le premier étant de retrouver collectivement le sens de l’intérêt général et le second étant que chacun renoue avec sa responsabilité de citoyen.

Voilà pourquoi je suis candidate aux élections municipales des 15 et 22 mars 2020 à Biot. L’échelle communale est celle qui est la plus adaptée pour conduire les actions nécessaires à une véritable métamorphose de nos habitudes. La réussite de ce mandat montre que les qualités de gestionnaires, le choix des actions menées, la volonté d’un service public au plus près des Biotois n’ont pas besoin d’un maire inféodé à un parti politique. C’est donc tout aussi libre et avec mes convictions que je co-construis le projet « L’Avenir au cœur » que je porterai au suffrage des Biotois en mars 2020.